Deux longs métrages québécois à Angoulême
20 juillet 2016
La neuvième édition du Festival du film francophone d’Angoulême, qui se déroulera du 23 au 28 août, proposera au public plus de quarante films, dont deux viennent du Québec.
Lire la suite20 juillet 2016
La neuvième édition du Festival du film francophone d’Angoulême, qui se déroulera du 23 au 28 août, proposera au public plus de quarante films, dont deux viennent du Québec.
Lire la suite19 juillet 2016
Le film Eye on Juliet du scénariste et réalisateur Kim Nguyen terminera ces jours-ci son tournage à Paris, après avoir été au Maroc en mars dernier et à Montréal il y a quelques jours. Le film devrait être sur nos écrans en 2017.
Lire la suite17 juillet 2016
Nous apprenions hier samedi le décès du comédien québécois René Caron, à Montréal, à l’âge de 90 ans.
Lire la suite15 juillet 2016
Porté par une maîtrise technique irréprochable que les auteurs ont su placer au service de la narration, King Dave arrime sa folle course contre la montre aux développements psychologiques du personnage, évoqués dans un raccourci bluffant. On en sort soufflé, mais aussi un peu essoufflé.
Lire la suite14 juillet 2016
Téléfilm Canada accorde son soutien au financement à trois longs métrages québécois de langue française.
Lire la suite11 juillet 2016
Connu sous le titre de travail Desperado, le drame indépendant Le pacte des anges de Richard Angers sortira en salles au Québec le 4 novembre prochain par l’entremise de la compagnie Axia Films.
Lire la suite8 juillet 2016
Plusieurs productions québécoises seront projetées lors de la 33e édition du Festival du film de Jérusalem, qui se tient jusqu’au 17 juillet prochain.
Lire la suite7 juillet 2016
Téléfilm Canada a dévoilé le mois dernier la cuvée 2016-2017 des finalistes du Programme de production à micro-budget. Sur 18 projets retenus, cinq proviennent du Québec.
Lire la suite1 juillet 2016
Neuf ans plus tard, Les 3 p’tits cochons 2 arrivent en terrain très balisé, pour ne pas dire miné. Hélas, malgré les efforts déployés, on ne rit que très peu et on ne s’émeut jamais des turpitudes volages de cette suite coincée sous la ceinture.
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