[Critique] Ababouiné d’André Forcier
23 août 2024
Un sujet parfait pour son auteur et ses acolytes, qui parviennent somme toute à trouver le juste équilibre entre absurdité, désinvolture et gravité.
Lire la suiteCritiques et avis personnels sur les films québécois de fiction sortis en salle ou vus lors des festivals.
23 août 2024
Un sujet parfait pour son auteur et ses acolytes, qui parviennent somme toute à trouver le juste équilibre entre absurdité, désinvolture et gravité.
Lire la suite15 août 2024
Mélangeant le suspense psychologique, l’horreur et le drame réaliste, ce premier long métrage visuellement maîtrisé se démarque par la construction, un peu lente, mais très habile, de son atmosphère anxiogène.
Lire la suite31 juillet 2024
Suivant à la lettre une recette qui a fait ses preuves, ce quatrième volet des aventures du cinéaste ne surprend guère. C’est, de loin, le plus faible de tous.
Lire la suite26 juillet 2024
Avec un récit mieux développé, une mise en scène plus assurée et des comédiens mieux dirigés, on aurait peut-être pu arriver à quelque chose de probant…
Lire la suite24 juillet 2024
Avec ce troisième long métrage, le trio RKSS propose une histoire aux enjeux trop simplistes, aux dialogues trop vulgaires et aux développements trop maladroits pour parvenir à convaincre.
Lire la suite22 juillet 2024
Portrait crédible, sincère et attachant de la communauté underground de Montréal au milieu des années 1970.
Lire la suite12 juillet 2024
Adaptation de bon aloi qui conserve une bonne part de l’esprit de la pièce originale, mais qui reste engluée dans le kitsch et le préfabriqué.
Lire la suite28 juin 2024
Emballé par la première moitié claustrophobe du film et par les questions pertinentes qu’il pose sur la survivance du fait français. Moins convaincu par la seconde partie s’aventurant un peu au hasard dans le cinéma de genre.
Lire la suite21 juin 2024
Dans ses segments historiques, le film s’avère un portrait efficace d’une personnalité avant-gardiste, déjà animée par des préoccupations actuelles. Dans ses séquences au présent, c’est un peu moins concluant.
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