1963 | Annee | Films du Québec

1963

Les fiches descriptives de films québécois distribués en salles ou en festival durant l’année 1963.

Amanita Pestilens – Film de René Bonnière

Second long métrage de fiction québécois à être tourné en couleurs, Amanita Pestilens de René Bonnière est un film à part dans la cinématographie québécoise qui n'est plus disponible qu'en version 35mm. Il s'agit d'une des rares productions de fiction de la Crawley Films, compagnie canadienne indépendante.

Comédie satirique
A tout prendre – Film de Claude Jutra

À tout prendre de Claude Jutra marque les débuts de ce qu'il serait convenu d'appeler aujourd'hui la Nouvelle vague québécoise. Outre le fait qu'il a marqué les débuts du cinéma québécois de façon indélébile, le film de Jutra a aussi grandement contribué à faire connaître l'existence d'un cinéma canadien francophone sur la scène internationale.

Drame

Menteuse – Film d’Émile Gaudreault
Suite de la comédie Menteur dans laquelle une menteuse compulsive se retrouve plongée dans un univers parallèle, où ses affabulations deviennent réalité.
- Louis Riel ou Le ciel touche la terre – Film de Matias Meyer
  
  Produite par le Québec et Mexique, cette oeuvre inimiste parfois exigeante évoque les derniers jours de Louis Riel (1844-1885), chef du peuple métis du Canada.
- Deux femmes en or – Film de Chloé Robichaud
  
  Reprise du film culte de Claude Fournier et Marie-Josée Raymond (1970) modernisant le regard que portait l’oeuvre originale sur le désir et la sexualité des femmes